/Briefing sur Terre/ - /Quartier 18, pont 4, JPS/
Lorsque cette femme lui demanda de signer le contrat de confidentialité, les questions affluèrent en plus grand nombre encore dans son esprit. Elle ne comprenait pas dans quoi elle avait mis les pied mais jamais encore, elle n’avait eu cette impression d’être plus à sa place, comme si tous ses actes l’avaient conduit à cet instant précis aussi ce fut sans la moindre hésitation qu’elle s’empara du stylo pour signer le papier.
Ce qui se passa ensuite, restera à jamais gravé dans la mémoire de Lehane, l’histoire de la porte des étoiles, les extra-terrestres, les guerres… Elle était tellement interloqué par ce qu’elle venait d’entendre que la piqure qu’elle reçut dans le cou ne la perturba même pas, mais le flash de lumière qui l’enveloppa ensuite, lui, la réveilla bien plus.
Lorsque la lumière disparut, elle se trouvait dans ce qui semblait être une chambre, semblable à ce qu’elle pourrait avoir dans une caserne militaire. Un lit, un bureau, une chaise… Et d’une fenêtre donnant sur ce qui semblait être l’immensité de l’univers.
Son sac à ses pieds, elle en resta comme deux ronds de flan. Incapable de bouger, elle resta là, le regard fixé sur cette extérieur sombre mais en même temps, tellement lumineux.
Perdu dans sa contemplation ainsi que dans ses pensées, elle ne savait plus quoi faire.
Lorsque cette femme lui demanda de signer le contrat de confidentialité, les questions affluèrent en plus grand nombre encore dans son esprit. Elle ne comprenait pas dans quoi elle avait mis les pied mais jamais encore, elle n’avait eu cette impression d’être plus à sa place, comme si tous ses actes l’avaient conduit à cet instant précis aussi ce fut sans la moindre hésitation qu’elle s’empara du stylo pour signer le papier.
Ce qui se passa ensuite, restera à jamais gravé dans la mémoire de Lehane, l’histoire de la porte des étoiles, les extra-terrestres, les guerres… Elle était tellement interloqué par ce qu’elle venait d’entendre que la piqure qu’elle reçut dans le cou ne la perturba même pas, mais le flash de lumière qui l’enveloppa ensuite, lui, la réveilla bien plus.
Lorsque la lumière disparut, elle se trouvait dans ce qui semblait être une chambre, semblable à ce qu’elle pourrait avoir dans une caserne militaire. Un lit, un bureau, une chaise… Et d’une fenêtre donnant sur ce qui semblait être l’immensité de l’univers.
Son sac à ses pieds, elle en resta comme deux ronds de flan. Incapable de bouger, elle resta là, le regard fixé sur cette extérieur sombre mais en même temps, tellement lumineux.
Perdu dans sa contemplation ainsi que dans ses pensées, elle ne savait plus quoi faire.