Le petit groupe avançait dans les escaliers puis de nouveaux dans les couloirs sans encombre. Apparemment, la station était vide de tout intrus, du moins, sur ces ponts-là. Le physicien pourrait donc vagabonder à ses réparations à sa guise.
Menant le groupe, il se dirigea donc vers la salle des générateurs afin de remettre ceux-ci en fonction, voire de les réparer si nécessaire.
Cependant, il devait se rappeler sa deuxième mission : empêcher le système SDI de se remettre en fonction du moment où il allumerait l’électricité et pour cela, il ne pouvait pas agir immédiatement. En effet, il ne pouvait pas être de partout à la fois et devait rallumer le générateur en priorité.
Par conséquent, il n’avait pas le choix, il devait faire quelque chose qu’il détestait plus que tout, déléguer une partie de son travail, qui plus est, à un technicien auquel il ne faisait aucune confiance, celui-ci ayant créé le système qui venait de leur faire faux-bond. Il voulait donc que celui-ci soit surveillé activement et il savait qui pouvait faire cela.
« Pelletier, pendant que je fais cela, allez désactiver totalement le SDI, débrancher-le, je ne sais pas moi mais faites en sortes qu’il soit totalement inéficace, je ne veux pas que le problème de tout à l’heure se reproduise, vous avez fait assez de dégât comme ça et vous avez déjà de la chance que je vous laisse une seconde possibilité de vous racheter en réparant vos erreurs. Thena, quant à vous, j’aimerais bien que cette homme soit surveillé de près, qu’il fasse bien ce qu’on lui a demandé et pas autre chose. Allez-y ou envoyé l’un de vos soldat dans lequel vous avez confiance effectuer cette tâche, je vous fais confiance. Moi, je dois travailler. »
Le physicien avais très peu confiance en le quebécois et doutait même de sa sincérité, le pensant être peut-être un espion infiltré mais il ne pouvait pas ce passer de son aide indispensable à la rapidité de la mission et avait confiance dans les soldats qui le surveillaient. Parlant au reste du groupe, le second continua.
« Si l’un de vous à des capacités en physique ou en électrique qu’il vienne m’aider, s’il a des capacités en informatique, qu’il aille aider Pelletier. »
Avec cette méthode où chacun pourrait choisir ce qu’il comptait faire en fonction de ses possibilités, Jacob pensait pouvoir agir de manière optimale.
Menant le groupe, il se dirigea donc vers la salle des générateurs afin de remettre ceux-ci en fonction, voire de les réparer si nécessaire.
Cependant, il devait se rappeler sa deuxième mission : empêcher le système SDI de se remettre en fonction du moment où il allumerait l’électricité et pour cela, il ne pouvait pas agir immédiatement. En effet, il ne pouvait pas être de partout à la fois et devait rallumer le générateur en priorité.
Par conséquent, il n’avait pas le choix, il devait faire quelque chose qu’il détestait plus que tout, déléguer une partie de son travail, qui plus est, à un technicien auquel il ne faisait aucune confiance, celui-ci ayant créé le système qui venait de leur faire faux-bond. Il voulait donc que celui-ci soit surveillé activement et il savait qui pouvait faire cela.
« Pelletier, pendant que je fais cela, allez désactiver totalement le SDI, débrancher-le, je ne sais pas moi mais faites en sortes qu’il soit totalement inéficace, je ne veux pas que le problème de tout à l’heure se reproduise, vous avez fait assez de dégât comme ça et vous avez déjà de la chance que je vous laisse une seconde possibilité de vous racheter en réparant vos erreurs. Thena, quant à vous, j’aimerais bien que cette homme soit surveillé de près, qu’il fasse bien ce qu’on lui a demandé et pas autre chose. Allez-y ou envoyé l’un de vos soldat dans lequel vous avez confiance effectuer cette tâche, je vous fais confiance. Moi, je dois travailler. »
Le physicien avais très peu confiance en le quebécois et doutait même de sa sincérité, le pensant être peut-être un espion infiltré mais il ne pouvait pas ce passer de son aide indispensable à la rapidité de la mission et avait confiance dans les soldats qui le surveillaient. Parlant au reste du groupe, le second continua.
« Si l’un de vous à des capacités en physique ou en électrique qu’il vienne m’aider, s’il a des capacités en informatique, qu’il aille aider Pelletier. »
Avec cette méthode où chacun pourrait choisir ce qu’il comptait faire en fonction de ses possibilités, Jacob pensait pouvoir agir de manière optimale.