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descriptionDocument de la CIA sur Jonathan Hunter [Décodage en cour] EmptyDocument de la CIA sur Jonathan Hunter [Décodage en cour]

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Document classé de la CIA                                                                                                                                                                                                                                                                                    Dossier de Jonathan Hunter
Fournis par :XDXXXXAXXXXDXXXXEXXX
Le XSXXXXXCXXXXXXXXEXXXXX

 
Extrait Vidéo du débriefing


On voit Jonathan Hunter, seul, de trois quarts par rapport à la caméra, assis sur une chaise, les mains dans le dos.
Il est habillé d'un couteux tailleur noir, rehaussé par quelques dorures.
Un homme, dont on voit seulement le crane chauve, est assis en face de lui.
Ils sont séparés par une table en fer
« Donc, monsieur Hunter, nous vous avions contacté a causes de votre hypermnésie le 18 janvier 2000, afin d'infiltré une organisation terroriste. L'infiltration a été un succès. On vous a vus en Chine trafiqué avec la mafia chinoise, en Irak près de Téhéran, partout ou les services « d'el colomba » étaient nécessaires. »
On voit des papiers glisser sur la table .
« Puis il y a quatre ans, vous prenez un avion pour le Bresil en partance de Maputo, puis, plus rien.
Aucun contact, le téléphone pucé, jeté à la flotte, les deux agents de la CIA ne répondant plus.
Et soudain, vous nous contactez, vous êtes en France, seul, poursuivi pour association terroriste.
Que c'est-il passé ? »
On entend bien sur la dernière question l'insistance que met l'homme mystérieux sur chacun des mots. Jonathan reste silencieux.
L'homme frappe alors la table en criant :
« Hein ? Que c'est-il passé ? ! »

 


Dernière édition par Jonathan Hunter le Sam 5 Juil 2014 - 14:00, édité 1 fois

descriptionDocument de la CIA sur Jonathan Hunter [Décodage en cour] EmptyRe: Document de la CIA sur Jonathan Hunter [Décodage en cour]

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Le : XXEXXDXDXXAXXXX
A : XCXXXXSXXXXXXE

Enregistrement audio de l'opération panthère noir






Red moon 1 : ok les gars on se prépare, Jonathan tu prend la tête.
Red moon 2 : bien chef
On entend des pas
Redmoon 1 :passage en vision nocturne
Redmoon 2 : copy
Redmoon 3 : reçu
Redmoon 4 : ok
On entend une conversation au loin
Redmoon 3 :Hostile sur la gauche
Redmoon 1 : 4 et 5 occupez vous en .
La consersation continue, on entend un cris étouffé, puis plus rien.
Redmoon 4 : Ils sont out, le cadeau n'est pas l'un d'entre eux.
Redmoon 1: compris redmoon 4, on se regroupe et on monte.
Slyfox à redmoon vous en êtes ou ?
Slyfox 1 : Ici slyfox, le dernier étage est clear, on passe au second .
Redmoon 1 : ok slyfox terminé.
Des bruits de pas, on entend des marches en bois craqué, quand soudain,
Blammm !
Redmoon 2 : Papa noël est passé, papa noël au 1er étage chambre nord ouest !
Redmoon 1 : Slyfox vous êtes au dessus ?
Slyfox 1 : affirmatif, on passe par les fenêtres ?
Redmoon 1 : Négatif slyfox , lancer des grenades flash plutôt .
Slyfox 1 : ok redmoon , on se met en place .
Redmoon 1 : combien de personnes a l'intérieur ?
Redmoon 3 : cinq personne, protéger par des barricades de fortunes . Quatre sont  armées .
Redmoon 2 : charges d'entrés placé
Slyfox 1 : Pile a l'heure , on est en place .
Gates 1 : Gate 1 a tous, on a un groupe blindés qui s'approche de la position , temps estimé 10 minutes
Redmoon 1 : ok, on se retrouve au point de rendez vous dans 5 minutes, vous pouvez les ralentir ?
Gate 1 : Négatif redmoon,   ils ont des camion équipé de DCA .
Redmoon 1 : ok reçu, tout le monde en place, on entre ... maintenant
Série d'explosion, tir de fusil, des cris .
Redmoon 1 : Hostiles a terre
Redmoon 2 : euh.... Gate 1, le cadeaux est décoré avec un tatouage non ?
Gate 1 : affirmatif redmoon, un tatouage représentant un chevalier et son cheval sous un drapeau.
Redmoon 1 : Jonathan, qu'est ce qui se passe ?
?????? : c'est toi qui doit le remplacer ?
Bruit d'arme ( mise en joue )
??????? : hoooo, calme les gars, Jessica Goncalves, service secret français, Tango alpha gama êta zoulou.
Redmoon 1 : vous pouvez nous expliquer ?
Jessica Goncalves : Vous ramenez votre "cadeau", et un de vos hommes doit m'accompagner.
Lequel d'entre vous s'appelle Jonathan Hunter ? "

descriptionDocument de la CIA sur Jonathan Hunter [Décodage en cour] EmptyRe: Document de la CIA sur Jonathan Hunter [Décodage en cour]

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Le : XXEXMXXXAXXXXXXTXXXLXXX
De : XXEXXXXXXRXXXGXXXXXAXXXXXXXXX






Boite noire n°4 ; opération Sneeky Snake


On voit au début une mèche rousse devant l'écran. Puis la personne se recule et on voit apparaître Jessica, en tenue civile, le visage aquilin, les yeux verts et un magnifique décolleté très plongeant .


Au fond on remarque un lit à baldaquin, il semble qu'elle se trouve en Arabie .


« Rapport de l'agent Jessica Goncalves n°6 .


Le colis est donc arrivé, après quelques péripéties. Après l'échange, nous avons tout de suite rejoint la colonne de blindé, j'ai bien sûr demander à Hunter de prendre les vêtements de la personne qu'il devait remplacer. Résultat nous avons pu rentrer au camp.


J'ai été obligé de dire que « El condor » était malade puis faire venir de faux médecin afin de pouvoir enseigner à Jonathan toutes les informations et connaissance de son prédécesseur. L'un des avantages est qu'il mémorise très rapidement.
À la vitesse où il va, je pense qu'il commencera à rencontrer bientôt des gens de l'Association, ils demandent expressément à le voir. »


Autre vidéo, Jessica est habillée tout en cuir noir. Son décolleté est un peu moins plongeant , mais quand même pas mal. Au fond on voit, allonger sur un lit kigsize, Jonathan, vêtu d'un costume de la même couleur.


« Rapport de l'agent Jessica Goncalves n°10.


Nous sommes donc a Pékin, pour une transaction avec les Chinois. Un de leur stock d'arme a été saisi et ce n'était pas du matériel bas de gamme.
 Jonathan maîtrise parfaitement son personnage, mais il a faillit tout faire capoter, il ne donnât pas l'ordre d'abattre un espion de son pays, il y a quelques jours. J'ai été obligée de le faire moi-même, c'est pour ça que vous le voyez derrière, en train de regarder le plafond. 
Nous pouvons .............. »

La vidéo a été coupée.

descriptionDocument de la CIA sur Jonathan Hunter [Décodage en cour] EmptyRe: Document de la CIA sur Jonathan Hunter [Décodage en cour]

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- Et c'est tout ?
Jonathan regarda l'homme qui l'interrogeait. C'était tout ? Il soupira. Apparemment il lui en faudrait plus pour le convaincre de son innocence.
- J'ai fuit alors qu'ils me cherchaient dans les environs en leur empruntant une voiture.
- Et c'est tout ?
- J'ai traquer toute l'organisation de haut jusqu'en bas, partant de la seule personne don je connaissait le nom.
- Ou ?
- Au Brésil, sous le nez de vos agent installé dans l'ambassade américaine .


==============================================================

- Senor Velasquez ? Senor de Castillano vous attend dans son bureau.
Jonathan releva ses yeux du journal qu'il ne lisait à peine. D'une certaine façon il était soulager, il serait plus facilement à l'abris et pourrait commencer sa quête.
Mais il ne le laissa pas paraître. Il suivit l'assistant et monta les impressionnantes marches en marbre qui menait au bureau de Joseph de Castillo, le  responsable du personnelle de l'ambassade. Et qu'elle était le meilleur endroit pour se cacher que l'endroit d'où l'on risquait de te chercher ?
Le bureau de Joseph de Castillo était située avec une vue sur la cour. Celui-ci était en train de regarder  par la fenêtre une jeune demoiselle, elle devait avoir pas plus de 18ans, en train de sortir par la grande porte. Je savais que cette demoiselle  s'appelait Paz de Castillo, sa fille, et qu'elle voulait pour se révolter contre son père entrer dans un des cartels brésilien. Ce qui désespérait le père attentionnée qu'il était, plus il intervenais plus elle s'enfonçait, et il cherchait une solution à ce problème. Il allait utiliser le père pour rester discret et utiliser la fille pour approcher sa proie.
Jonathan pris la liberté de se rapprocher de la fenêtre à côté de Joseph. Il regarda la jeune femme monter dans une voiture accompagné par deux gardes du corps.

- Malgré le fait que j'essaie de la protéger, elle réussi toujours à s'échapper. Les enfants de nos jours.
Jonathan sourit comme s'il comprenait. Après un soupir Joseph fit signe à son invité de s'asseoir sur l'une des chaise tandis qu'il s'assit sur le fauteuil derrière le bureau en bois qu'il utilisait. Un aquarium soufflait des bulles et perturba pendant quelques instants le silence qui s'installa, avec comme bruit de fond les pas incessant de personne passant à coté.
- Que puis je faire pour vous, monsieur Velasquez ?
- Vous avez besoin d'un chaperon pour votre fille ?
- Comment le savez vous ?
- Je connaît le milieux depuis un bon bout de temps depuis que je l'ai fréquenter pendant quelques années, avant de devenir un citoyen normal il y a 10ans. Depuis je vend mes services à des personnes voulant empêcher leur enfants de rentrer dans les gangs qui sillonnent les favelas. J'ai plusieurs recommandations de certaine famille.
Je lui tendis ma pochette contenant les papiers, qu'il regarda pendant quelques instants.
- Et que vous faut-il comme payement ?
- 6000 dollars, et un accès à l'ambassade en tout temps pour vous informez.


==============================================================

- Et il a accepté ?
- Oui, quelques instant plus tard je me retrouvais avec un chèque de 6000 dollars et une carte d'accès à l'ambassade en temps que l'assistant du responsable du personnel.

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18 février 2009, Buenos-Aires.


- Allez Chicas ! C'est pas le moment de faiblir !


Je prit appuis sur ma jambe et serra le poing.


* Allez Rachel, tu peux le faire *


Mon corps souffrait le martyr, couvert de bleu et mes muscles étaient encore endoloris par l'entraînement d'hier.
Je réussie à me remettre debout et eu un sourire crispé.


* Madre de dio, si mes copines me voyaient ainsi *


Cela faisait quelques jours que j'avais commencé l'entraînement avec lui et j'avais rapidement cessée de s'occuper de mon apparence lors des entraînements. La boue était franchement pas facile à enlever de mes cheveux.
Je respirai un bon coup et repris ma garde.


" J'aime mieux ça. "


Je ne lui répondis pas, attendant qu'il se mette en garde. Mais il continua à me regarder, les bras croisés, cherchant à me provoquer. Très bien, il voulait jouer comme ça.
J'eus un sourire crispé et le vit se raidir légèrement. Je passai à l'attaque et glissa sous ses jambes. Je poussai sur mes jambes et les accrocha au niveau de sa gorge. Ses mains sortirent de leur poche et il tenta de m'enlever. Trop tard.
Je lançai ma main gauche vers la clochettes qu'il avait accroché à sa ceinture et tira dessus.
Avec un soupir de soulagement, je relâchai la pression, laissa mon corps fatigué s'écraser sur l'herbes et ferma les yeux.
Le soleil tapait fort en cette journée d'été et je sentais ses rayons caresser ma peau cuivré. On entendait seulement le bruit des arroseurs de la pelouse, ainsi que les grelots de Lucy, mon petit chihuahua.


" ça va ? "


Je rouvris les yeux et aperçu mon entraîneur, penché au-dessus de moi, une lueur d'inquiétude dans son regard.


* De l'inquiétude ? C'est exceptionnel *

Je pris appui sur mes mains et me releva, me retenant de crier lorsque je sentis la douleur me submerger. Je lui fis signe que j'allais bien, et me dirigea vers mon transat, claudiquant plus que marchant. Lucy vint immédiatement se loger sur les genoux, tandis que lui alla prendre une pomme, une barre chocolaté, et une bouteille d'eau. Il me les tendis et alla s'asseoir à côté.
Il se passa un temps ou personne ne parla, chacun profitant de la vision qu'on avait de Buenos-Aires, sous le soleil couchant. Lucy sauta de mes jambes et retourna courir sur la pelouse.


" Me faire le coup du scorpion... J'aurais jamais cru que vous auriez l'audace d'utiliser mes techniques contre moi.


- Faut dire que j'ai eu un très bon exemple. lui répondis-je en souriant.


- Les flatteries ne marchent pas sur moi, jeune demoiselle. " me répondit-il en faisant tourner un morceau de bois entre ses pouces.


Au contraire, ça marchait toujours.
Je bus un peu et décida de poser la question qui me taraudais l'esprit depuis qu'il était devenu mon coach personnel mais aussi mon garde du corp.


" Vous m'aviez dit un jour que vous connaissez les favelas comme votre poche, que vous aviez fréquenté les cartels qui y séjournaient. Mais pourquoi avez-vous retourné votre veste, pourquoi les avoir quittés ? "


Je sentis instantanément que j'avais touché quelque chose de sensible.
Le bâton tomba au sol et mon coach était immobile, l'air nerveux.


"Si ça vous gêne je peut.....
- Non, ça ira".


Il referma sa main en un poing serré, qu'il relâcha lentement.


" J'ai travaillé pendant quelques semaines avec des cartels, notamment pour des livraisons de produits, plus ou moins légal. Alors que je venais de terminer ma livraison et que rentrait chez moi, je me suis fait attaquer par des hommes armés. J'étais avec une personne qui m'était très chère. Et elle est morte, tué dans l'explosion de ma voiture. J'ai été projeté au loin, par malchance et j'ai pu être hors de portée de l'explosion. "

Je restas sans voix.


" pour... Pourquoi par malchance ?
- Pour ça.. "


Il enleva son t-shirt et montra son dos.
Il y avait une impressionnante brûlure partant de ses omoplates et descendant jusqu'au milieu du dos, tel une marque de la mort de celle qu'il avait aimé.


" Si je vais là bas, je suis mort. Tout ce que je sais est que tous les ordres sont donnés par un homme et si j'ai les bonnes infos, c'est lui qui sait celui qui a tué ta mère, ainsi que celle que j'aimais. Tu comprends ? "

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