Atlantis.
Après un cours vol de quelques heures, la cité à peine reprise s’était posé sur un nouvel océan d’une planète inexplorée. L’atmosphère était respirable, la température douce, sur le papier, l’endroit trouvé par le Lorion était parfait.
Il restait dans les réserve de la cité de quoi nourrir les deux équipages et les réfugiés pendant quelques temps, ainsi que les soigner. Les deux croiseurs s’étaient posés sur les plateformes appropriées et étaient en pleine réparation.
L’infirmerie avait été bien remplie dans les premiers temps mais commençait enfin à se vider, ne laissant que les cas les plus graves, comme celui du capitaine Lawrence.
La recherche d’alliés et de soutien avait débuté. Stella et le Bayta venait juste de revenir, le premier chargé de cubes de protéines assurant de la nourriture à long terme pour tous, malgré un goût de cartons certain. Diane, pour sa part, revenait de Celestia avec un peu de personnel médical, du plancton prêt a cuire et beaucoup de fruits frais.
A présent que l’urgence se faisait moins sentir, il était temps d’explorer un peu plus la planète sur laquelle ils avaient atterri. La cité était posé non loin du seul continent sur lequel des formes de vie avaient été détecté. Aucune technologie par contre n’était visible et personne n’était venu à leur rencontre.
Une première reconnaissance aérienne montra ce qu’il restait d’une ville prés de la cote et une équipe éclectique se monta pour aller jeter un œil de plus prés.
Le transport se posa dans ce qui devait avoir été une place centrale. La bâtiment (ce qu’il en restait) rappelait vaguement le milieu du XXe siècle terrien. Des carcasses métalliques, sans doute des véhicules reposaient ça et la, au milieu des touffes d’herbes folles. Cet endroit devait être abandonné depuis des décennies.
Quelques détails sautèrent aux yeux de l’équipe rapidement. Premièrement, l’endroit était radioactif. Rien de dangereux à court ou moyen terme. Il aurait fallut qu’ils restent plusieurs mois ici pour que des effets se fassent sentir. Ensuite, beaucoup d’inscription étaient visibles. Si les mots n’étaient pas compréhensible, l’alphabet ressemblait pour beaucoup à celui utilisé par les anciens. Enfin, il y avait des traces de pas dans la boue. Avec l’humidité ambiante, elles ne pouvaient pas avoir plus de quelques jours.
Après un cours vol de quelques heures, la cité à peine reprise s’était posé sur un nouvel océan d’une planète inexplorée. L’atmosphère était respirable, la température douce, sur le papier, l’endroit trouvé par le Lorion était parfait.
Il restait dans les réserve de la cité de quoi nourrir les deux équipages et les réfugiés pendant quelques temps, ainsi que les soigner. Les deux croiseurs s’étaient posés sur les plateformes appropriées et étaient en pleine réparation.
L’infirmerie avait été bien remplie dans les premiers temps mais commençait enfin à se vider, ne laissant que les cas les plus graves, comme celui du capitaine Lawrence.
La recherche d’alliés et de soutien avait débuté. Stella et le Bayta venait juste de revenir, le premier chargé de cubes de protéines assurant de la nourriture à long terme pour tous, malgré un goût de cartons certain. Diane, pour sa part, revenait de Celestia avec un peu de personnel médical, du plancton prêt a cuire et beaucoup de fruits frais.
A présent que l’urgence se faisait moins sentir, il était temps d’explorer un peu plus la planète sur laquelle ils avaient atterri. La cité était posé non loin du seul continent sur lequel des formes de vie avaient été détecté. Aucune technologie par contre n’était visible et personne n’était venu à leur rencontre.
Une première reconnaissance aérienne montra ce qu’il restait d’une ville prés de la cote et une équipe éclectique se monta pour aller jeter un œil de plus prés.
Le transport se posa dans ce qui devait avoir été une place centrale. La bâtiment (ce qu’il en restait) rappelait vaguement le milieu du XXe siècle terrien. Des carcasses métalliques, sans doute des véhicules reposaient ça et la, au milieu des touffes d’herbes folles. Cet endroit devait être abandonné depuis des décennies.
Quelques détails sautèrent aux yeux de l’équipe rapidement. Premièrement, l’endroit était radioactif. Rien de dangereux à court ou moyen terme. Il aurait fallut qu’ils restent plusieurs mois ici pour que des effets se fassent sentir. Ensuite, beaucoup d’inscription étaient visibles. Si les mots n’étaient pas compréhensible, l’alphabet ressemblait pour beaucoup à celui utilisé par les anciens. Enfin, il y avait des traces de pas dans la boue. Avec l’humidité ambiante, elles ne pouvaient pas avoir plus de quelques jours.