Tel un couple de touriste, Zander et Nadira se promenèrent dans Paris tout en se dirigeant vers le bois de Vincenne. Même sans connaitre la ville, il était simple de se repérer aux vols des aérostats.
Le médecin s’inquiétait pour son compagnon, même si celui-ci lui assurait gérer la situation pour l’instant. Elle l’avait déjà vu lors d’une crise de « manque » et n’avait pas spécialement envie que le problème se repose en pleine mission.
Une fois sur place, elle laissa le pilote discuter avec ses collègues et admira ses engins étranges et magnifiques. Une expédition a bord d’une de ces montgolfières serait un étrange moment plein de panache. Sans doute plus que patauger dans les égouts. Mais la discrétion avait un prix… et sans doute une odeur.
Une fois Zander au fait du pilotage des plus légers que l’air, ils se remirent en route vers le point de ralliement, un bar non loin du palais de leur ennemi.
« - Deux café, s’il vous plait, demanda-t-elle avec un accent à couper au couteau. »
L’ambiance était plutôt chic ici et elle nota que la boisson favorite semblait plutôt être une liqueur verte dans laquelle on faisait fondre lentement du sucre. Homme et femme s’adonnaient à cette boisson à l’odeur anisée.
« - Alors, tu penses être capable de contrôler un truc pareil ? »
Pendant qu’ils discutaient, elle observait le palais non loin de là, pour se faire une idée de la taille de la garnison et de leur niveau d’alerte. L’endroit n’était pas vraiment bâti comme une forteresse mais y rentrer ne serait néanmoins pas facile.
Le médecin s’inquiétait pour son compagnon, même si celui-ci lui assurait gérer la situation pour l’instant. Elle l’avait déjà vu lors d’une crise de « manque » et n’avait pas spécialement envie que le problème se repose en pleine mission.
Une fois sur place, elle laissa le pilote discuter avec ses collègues et admira ses engins étranges et magnifiques. Une expédition a bord d’une de ces montgolfières serait un étrange moment plein de panache. Sans doute plus que patauger dans les égouts. Mais la discrétion avait un prix… et sans doute une odeur.
Une fois Zander au fait du pilotage des plus légers que l’air, ils se remirent en route vers le point de ralliement, un bar non loin du palais de leur ennemi.
« - Deux café, s’il vous plait, demanda-t-elle avec un accent à couper au couteau. »
L’ambiance était plutôt chic ici et elle nota que la boisson favorite semblait plutôt être une liqueur verte dans laquelle on faisait fondre lentement du sucre. Homme et femme s’adonnaient à cette boisson à l’odeur anisée.
« - Alors, tu penses être capable de contrôler un truc pareil ? »
Pendant qu’ils discutaient, elle observait le palais non loin de là, pour se faire une idée de la taille de la garnison et de leur niveau d’alerte. L’endroit n’était pas vraiment bâti comme une forteresse mais y rentrer ne serait néanmoins pas facile.